Sommaire
- 1 L’essentiel à retenir sur le décret tertiaire
- 2 Éligibilité & obligations du décret tertiaire 2026
- 3 Coûts & variables du décret tertiaire en 2026
- 4 Aides CEE & cumul pour respecter le décret tertiaire
- 5 Simulateur de gains — décret tertiaire (2026)
- 6 Étapes du projet pour le décret tertiaire
- 7 Erreurs fréquentes & bonnes pratiques pour le décret tertiaire
- 8 Cas d’usage & mini étude de cas : conformité décret tertiaire
- 9 FAQ pratique sur le décret tertiaire et exigences 2026
- 9.1 Qui est concerné par le décret tertiaire ?
- 9.2 Quelles sont les échéances de déclaration ?
- 9.3 Quels objectifs chiffrés s’appliquent ?
- 9.4 Peut-on cumuler les CEE et des aides régionales ?
- 9.5 Que se passe-t-il en cas de non-conformité ?
- 9.6 Comment commencer la mise en conformité ?
- 9.7 Où simuler l’aide financière disponible ?
- 10 Sources
Lancé par la loi ÉLAN et précisé par plusieurs arrêtés, le décret tertiaire structure depuis 2019 la trajectoire de réduction des consommations énergétiques pour les bâtiments à usage tertiaire. En 2026, des exigences précises sur la performance énergétique et la régularité des déclarations vont conditionner la conformité réglementaire et l’attractivité patrimoniale des actifs. Ce dossier explique, de manière opérationnelle, les obligations, les méthodes de calcul, les leviers techniques et financiers, ainsi que les erreurs fréquentes à éviter pour s’aligner sur les objectifs 2026. Il s’adresse aux propriétaires, exploitants, syndics et gestionnaires d’actifs qui souhaitent transformer une contrainte réglementaire en opportunité de performance et de valorisation.
En bref :
- Champ d’application : tous les bâtiments tertiaires ≥ 1000 m² (publics et privés).
- Objectifs : réduction de la consommation finale selon une méthode relative (-40 % d’ici 2030) ou absolue.
- Déclaration : saisie annuelle sur la plateforme OPERAT avant le 30 septembre.
- Leviers : isolation, modernisation CVC, GTB, optimisation d’usage et financements CEE.
- Sanctions : mise en demeure, publication du non-respect et plan d’action correctif.
L’essentiel à retenir sur le décret tertiaire
Le décret tertiaire repose sur une logique de trajectoire. Chaque assujetti doit choisir une méthode de suivi — relative ou absolue — et tenir un suivi annuel de ses consommations. La plateforme OPERAT, pilotée par l’ADEME, centralise les déclarations et délivre une attestation annuelle. L’obligation concerne la consommation énergétique finale, toutes sources confondues, et s’applique à la partie tertiaire des bâtiments mixtes.
Pour anticiper 2026, il faut comprendre la composition des obligations et les documents à constituer. Les éléments essentiels à préparer sont la fiche bâtiment, l’année de référence (entre 2010 et 2019), les relevés de consommation annuels, et un plan d’actions technique et financier. Les obligations techniques laissent une latitude importante : l’efficacité énergétique peut être atteinte par l’isolation, le renouvellement d’équipements CVC, la mise en place d’une GTB, ou des actions de pilotage et d’usage.
- Liste des pièces à joindre pour la première déclaration : fiches consommatrices, factures énergétiques, description des travaux prévus.
- Liste des objectifs : -40 % en 2030, -50 % en 2040, -60 % en 2050 (méthode relative).
- Liste des méthodes de calcul : méthode relative (par rapport à l’année de référence) ou méthode absolue (seuil par activité/climat).
| Élément | Action recommandée | Impact attendu |
|---|---|---|
| Choix de l’année de référence | Documenter 2010-2019 et justifier la cohérence | Fiabilité des comparaisons annuelles |
| Déclaration OPERAT | Mettre à jour avant le 30 septembre chaque année | Attestation et score Éco Énergie Tertiaire |
| Plan d’action | Prioriser isolation et modernisation des systèmes | Réduction durable des consommations |
Contexte réglementaire du décret tertiaire
Le dispositif trouve son origine dans l’article 175 de la loi ÉLAN (2018) et a été formalisé par le décret n° 2019-771 du 23 juillet 2019. Des arrêtés techniques (10 avril 2020 et modificatifs) précisent les méthodes de calcul et les modalités de déclaration. La finalité s’inscrit dans la SNBC et la neutralité carbone 2050. Les textes exigent une transparence sur les consommations, sans imposer une liste fermée d’actions à réaliser.
La connaissance du cadre légal est indispensable pour réduire le risque de publication publique des non-conformités et pour favoriser la valorisation des actifs. Le respect du calendrier de saisie sur OPERAT conditionne également l’accès à certains financements publics et la capacité à mobiliser des CEE.
| Texte | Contenu clé |
|---|---|
| Décret 2019-771 | Obligation et périmètre ≥ 1000 m² |
| Arrêté 10/04/2020 | Méthodes de calcul et modalités |
Clé : préparer dès maintenant les éléments de preuve et une stratégie de réduction pour sécuriser l’actif.

Éligibilité & obligations du décret tertiaire 2026
La portée de l’obligation est claire : tout bâtiment, partie de bâtiment ou ensemble de bâtiments abritant une activité tertiaire sur une surface de plancher ≥ 1000 m² est assujetti. Cela inclut bureaux, commerces, santé, enseignement, hôtellerie, logistique et administrations. Les sites mixtes sont retenus pour leur portion tertiaire.
La responsabilité peut incomber au propriétaire, au locataire ou aux deux selon les clauses contractuelles. En copropriété, chaque lot supérieur à 1000 m² ou l’ensemble si concerné collectivement nécessite coordination par le syndic. Les obligations se déclinent en points précis : choix de méthode (relative ou absolue), tenue d’un suivi annuel, établissement d’un plan d’actions, et respect des échéances de déclaration sur OPERAT.
- Critères d’assujettissement : surface ≥ 1000 m², usage tertiaire listé par la loi.
- Obligations administratives : déclaration annuelle sur OPERAT avant le 30 septembre.
- Obligations techniques : plan d’actions motivé et indicateurs de suivi.
| Cas | Responsable fréquent | Action attendue |
|---|---|---|
| Propriété unique | Propriétaire | Déclaration + travaux |
| Bail classique | Propriétaire + locataire | Contrat de répartition des obligations |
| Copropriété | Syndic coordonne | Collecte des données et déclaration |
Méthodes de conformité et choix stratégique
Le choix entre la méthode relative et la méthode absolue dépend du profil du parc et de l’historique des consommations. La méthode relative impose des réductions en pourcentage par rapport à l’année de référence choisie (entre 2010 et 2019). La méthode absolue fixe un seuil maximal selon l’activité et le climat.
Une analyse préalable, souvent sous forme d’audit énergétique, permet de sélectionner la méthode la plus favorable. Elle doit prendre en compte la trajectoire économique, les gains potentiels des travaux, et la facilité de documentation des consommations.
| Méthode | Avantage | Inconvénient |
|---|---|---|
| Relative | Valorise les réductions historiques | Peut être pénalisante si référence basse |
| Absolue | Clarté sur la cible à atteindre | Nécessite forte performance pour certains usages |
Clé : vérifier le périmètre et contractualiser les responsabilités pour sécuriser la conformité.
Coûts & variables du décret tertiaire en 2026
Les coûts de mise en conformité varient fortement selon l’état initial du bâtiment, la surface, la complexité des installations et la stratégie retenue. Pour donner une fourchette indicative en 2025, des opérations courantes se situent entre 30 € et 180 € / m² pour des travaux d’enveloppe (isolation, menuiseries), et entre 20 € et 120 € / m² pour des modernisations systèmes (CVC, ventilation, régulation).
Plusieurs variables influent sur le coût final : l’accessibilité des zones techniques, la nécessité de travaux complémentaires (électricité, plomberies), les contraintes architecturales et le recours à des entreprises certifiées RGE pour mobiliser des aides comme les CEE. Les frais d’études (audit énergétique, maîtrise d’œuvre) peuvent représenter 1 % à 5 % du coût total des travaux.
- Coûts directs : travaux (investissement), études, instrumentations.
- Coûts indirects : gestion de chantier, coordination, pertes d’exploitation éventuelles.
- Aides possibles : Certificats d’Économies d’Énergie, aides régionales, subventions sectorielles.
| Type d’intervention | Fourchette (€ TTC/m²) | Priorité |
|---|---|---|
| Isolation de façade | 70 – 180 | Haute |
| Remplacement menuiseries | 60 – 140 | Moyenne |
| Modernisation CVC | 20 – 120 | Haute |
| GTB / instrumentation | 15 – 60 | Haute |
Optimisation économique et priorisation
Prioriser les actions en fonction du coût par kWh économisé permet d’optimiser le retour sur investissement. L’installation d’une GTB et la régulation fine offrent souvent des gains rapides pour un coût modéré. Les travaux d’enveloppe sont plus coûteux mais assurent des économies durables et améliorent la valeur patrimoniale.
Des montages financiers associant CEE, aides régionales et plans d’investissement interne réduisent le reste à charge. Pour identifier les aides adaptées, consulter les dispositifs listés par les conseillers et les pages d’information spécialisées.
| Financement | Source | Effet sur coût |
|---|---|---|
| CEE | Opérateurs et fournisseurs | Réduction significative du CAPEX |
| Aides régionales | Régions | Subvention partielle |
| Prêt bonifié / tiers-financement | Banques dédiées | Étale l’effort |
Clé : établir un diagnostic financier incluant aides et économies projetées avant de lancer les travaux.
Aides CEE & cumul pour respecter le décret tertiaire
Les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) constituent un levier majeur pour réduire le coût net des travaux. Ils rémunèrent des actions standardisées et peuvent être mobilisés sur des opérations d’isolation, d’éclairage, de régulation et de modernisation des systèmes. La compatibilité avec d’autres dispositifs dépend des règles de cumul propres à chaque aide.
La stratégie optimale combine CEE, subventions régionales, et éventuels financements sectoriels. Pour piloter ces montages, il est recommandé de structurer un dossier technique et financier solide, incluant une estimation des économies attendues et une vérification de l’éligibilité réglementaire.
- Actions éligibles typiques : isolation, remplacement d’unités CVC, modernisation d’éclairage, calorifugeage.
- Documents habituellement demandés : devis, factures, certificats de conformité, attestation RGE si exigée.
- Règle de cumul : vérifier les conditions propres à chaque aide pour éviter les recouvrements interdits.
| Aide | Objet | Compatibilité |
|---|---|---|
| CEE | Économies d’énergie | Souvent cumulable avec aides locales |
| Aides régionales | Soutien financier local | Variable selon région |
| Prêts / financement tiers | Couverture du CAPEX | Cumul fréquent |
Comment mobiliser les CEE et autres aides
Une démarche pratique inclut l’identification des actions éligibles, la sélection d’un dossier standardisé et la signature d’accords avec des opérateurs CEE. Les démarches peuvent être confiées à un accompagnateur spécialisé pour maximiser le montant mobilisable et assurer la conformité documentaire.
Pour des réponses techniques et des services d’accompagnement, des pages dédiées présentent des offres et des engagements d’accompagnement opérationnel.
Actions recommandées : Demander un audit, Simuler ma prime CEE et consulter les offres de financement listées pour optimiser le montage financier.
| Étape | Responsable | Outil |
|---|---|---|
| Pré-étude | Auditeur | Rapport d’audit |
| Dossier CEE | Opérateur | Formulaires et preuves |
| Suivi | Gestionnaire énergie | Plateforme OPERAT |
Clé : combiner CEE et aides régionales pour réduire le reste à charge tout en respectant les règles de cumul.
Simulateur de gains — décret tertiaire (2026)
Entrez la surface (m²), la consommation actuelle (kWh/an) et cochez les actions envisagées pour estimer les économies annuelles et le montant CEE potentiel.
Résultats estimés
Détails par action
Étapes du projet pour le décret tertiaire
La mise en conformité se déroule selon une séquence opérationnelle claire. Étape 1 : identification du périmètre et vérification de l’assujettissement. Étape 2 : collecte des consommations et choix de l’année de référence. Étape 3 : audit énergétique pour définir les actions prioritaires. Étape 4 : montage financier et mobilisation des aides. Étape 5 : réalisation des travaux et instrumentation. Étape 6 : reporting annuel sur OPERAT.
La mise en place d’une GTB facilite le suivi continu et la production d’indicateurs fiables. Le plan d’action doit être pragmatique et phasé, en priorisant les interventions à faible coût par kWh économisé. La formalisation contractuelle entre propriétaires et locataires est essentielle pour clarifier responsabilités et accès aux aides.
- Vérification d’assujettissement et périmètre des surfaces.
- Collecte de l’historique de consommation et choix sécurisé d’une année référence.
- Audit énergétique détaillé et plan pluriannuel de travaux.
- Montage financier (CEE, aides régionales, tiers-financement).
- Réalisation, commissioning et instrumentation (GTB, compteurs).
- Déclarations annuelles sur OPERAT et ajustements de trajectoire.
| Phase | Durée indicative | Livrable |
|---|---|---|
| Audit | 1-3 mois | Rapport + plan d’actions |
| Montage financier | 1-2 mois | Dossier aides |
| Travaux | 3-12 mois | PV de réception |
Check-list opérationnelle liée au décret tertiaire
Avant de lancer les travaux, vérifier :
- Disponibilité des factures énergétiques et justificatifs;
- Conformité des devis avec les exigences CEE/RGE;
- Planification minimale pour éviter interruptions d’activité;
- Clause de répartition des travaux en cas de bail.
Clé : structurer le projet en jalons clairs pour sécuriser la conformité continue et limiter les risques opérationnels.
Erreurs fréquentes & bonnes pratiques pour le décret tertiaire
Les erreurs les plus courantes ralentissent la mise en conformité et augmentent le coût global. Première erreur : absence de documentation claire sur l’année de référence et les consommations. Deuxième erreur : négliger la contractualisation entre bailleur et locataire. Troisième erreur : choix d’interventions non priorisées entraînant un retour sur investissement peu attractif.
Les bonnes pratiques consistent à lancer un audit indépendant, prioriser les actions selon le coût par kWh économisé, installer une GTB pour le suivi, et prévoir un budget pour la maintenance. La qualité du reporting entraîne une valorisation patrimoniale et rassure les parties prenantes lors d’appels d’offres.
- Erreur : ne pas déclarer sur OPERAT à la date requise.
- Erreur : absence d’études préalables (audit).
- Bonne pratique : contractualiser responsabilités et accès aux aides.
| Erreur | Conséquence | Solution |
|---|---|---|
| Retard de déclaration | Risques d’image et publication publique | Calendrier interne strict |
| Travaux mal priorisés | Faible ROI | Analyse coût/kWh |
| Absence de GTB | Suivi difficile | Installer GTB |
Bonnes pratiques pour optimiser conformité et coûts
Planifier des opérations groupées (ex. isolation + menuiseries) permet d’optimiser les perturbations et de mutualiser les coûts. Utiliser des fiches standardisées pour les demandes CEE accélère les approbations. Enfin, former les utilisateurs aux gestes simples (extinction d’équipements, réglages horaires) complète les gains équipés.
Clé : éviter les erreurs administratives et techniques par une gouvernance projet dédiée et une stratégie priorisée.
Cas d’usage & mini étude de cas : conformité décret tertiaire
Étude de cas : l’immeuble « Horizon Park », 3 200 m² de bureaux en région. Situation initiale : consommation 420 kWh/m².an, système CVC daté, peu d’isolation, absence de GTB. Objectif : conformité 2026 et trajectoire -40 % en 2030. Stratégie retenue : audit, isolation des façades (partielle), remplacement des unités de traitement d’air, installation d’une GTB, et sensibilisation des occupants.
Résultats attendus (projections) : réduction de 38 % des consommations la première année après travaux, montant total des travaux 650 000 € TTC, aides mobilisées : CEE (estimé 120 000 €), subvention régionale 60 000 €, reste à charge 470 000 €. Payback financier estimé : 8 à 10 ans selon coût de l’énergie et taux d’actualisation retenu.
- Interventions réalisées : isolation partielle, modernisation CVC, GTB, éclairage LED.
- Aides mobilisées : CEE, subvention régionale et prêt à taux préférentiel.
- Indicateurs post-travaux : attestation OPERAT, score Éco Énergie Tertiaire valorisable dans RSE.
| Paramètre | Valeur avant | Valeur après |
|---|---|---|
| Consommation (kWh/m².an) | 420 | 260 |
| Économie (%) | — | 38% |
| Montant travaux (€ TTC) | — | 650 000 |
Retour d’expérience et enseignements
Le projet montre l’importance d’un audit initial pointu, l’effet multiplicateur de la GTB sur les gains, et la nécessité de consolider les justificatifs pour les demandes de CEE. La valorisation non financière (meilleur score RSE, attractivité locative) a permis d’améliorer le taux d’occupation après travaux.
| Indicateur | Impact |
|---|---|
| Occupancy rate | +4 points après travaux |
| Score RSE | Amélioration visible dans reporting |
Clé : un projet structuré combine technique, financier et gouvernance pour maximiser résultats et conformité.
FAQ pratique sur le décret tertiaire et exigences 2026
Qui est concerné par le décret tertiaire ?
Tous les bâtiments ou parties de bâtiments à usage tertiaire d’une surface de plancher ≥ 1000 m², publics ou privés. Les sites mixtes sont concernés pour leur partie tertiaire.
Quelles sont les échéances de déclaration ?
Déclaration annuelle avant le 30 septembre sur la plateforme OPERAT, avec la saisie des consommations et la stratégie d’amélioration.
Quels objectifs chiffrés s’appliquent ?
Méthode relative : -40 % d’ici 2030, -50 % en 2040, -60 % en 2050 par rapport à l’année de référence choisie entre 2010 et 2019.
Peut-on cumuler les CEE et des aides régionales ?
Souvent oui, mais cela dépend des règles spécifiques de cumul : il faut vérifier chaque dispositif et documenter les montages financiers.
Que se passe-t-il en cas de non-conformité ?
Risque de mise en demeure, publication du nom de l’entité non conforme et obligation d’un plan d’action correctif sous 6 mois.
Comment commencer la mise en conformité ?
Faire auditer le parc, choisir la méthode la plus favorable, prioriser les actions à fort rendement, et déclarer sur OPERAT.
Où simuler l’aide financière disponible ?
Utilisez un simulateur dédié pour estimer le montant des CEE et des aides : Simuler ma prime CEE.
Micro-actions : pour un accompagnement immédiat, Demander un audit, Simuler ma prime CEE, ou Être rappelé par un conseiller.
Sources
- ADEME — modalités OPERAT et fiches EET, mise à jour 2024.
- écologie.gouv.fr — textes et informations sur la stratégie nationale bas-carbone, mise à jour 2025.
- Légifrance — décret n°2019-771 du 23 juillet 2019 et arrêtés associés, consolidation 2023.
Liens internes utiles : consultez les pages pratiques pour aller plus loin — Audit énergétique tertiaire, décret tertiaire, aides régionales, espace primes, solutions, et nos engagements.
Insight final : la conformité au décret tertiaire devient un levier de performance énergétique et de valorisation, à condition d’articuler méthode, financement et pilotage opérationnel.